Les syndiqué-es du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges s’invitent au rassemblement

Les membres des syndicats ont marché, drapeaux bien hauts, à travers le Repos Saint-François pour rappeler leur cause et signifier l’importance de leur lutte aux intervenantes et aux intervenants du secteur

Montréal, 31 mai 2023 – Les grévistes du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges participaient de loin cette année aux activités du congrès de l’Association des cimetières chrétiens du Québec (ACCQ). Le cimetière Le Repos Saint-François d’Assise est l’hôte de cette 35e édition du congrès. Les membres des syndicats ont marché, drapeaux bien hauts, à travers le Repos Saint-François pour rappeler leur cause et signifier l’importance de leur lutte aux intervenantes et aux intervenants du secteur, venus des quatre coins du Québec. Plusieurs congressistes leur ont d’ailleurs exprimé leur appui.

« La question des meilleures pratiques à adopter dans l’univers des activités funéraires, notamment en matière de gestion, est le point important abordé au congrès de l’ACCQ cette semaine », rappelle Eric Dufault, président du Syndicat des employées et employés de bureau du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges (SEEBCNDDN–CSN). « Disons que l’employeur aurait plusieurs notions à venir chercher ici, mais il a choisi de briller par son absence », conclut-il lors d’une assemblée générale tenue plus tôt aujourd’hui.

Un dépôt attendu

Pour sa part, Patrick Chartrand, président du Syndicat des travailleuses et des travailleurs du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges (STTCNDDN–CSN), a confirmé « qu’ils ont rendez-vous ce vendredi pour le dépôt d’une offre patronale, alors que l’employeur a préalablement refusé la proposition de règlement soumise par le conciliateur nommé au dossier. »

Respectivement sans contrat de travail depuis le 31 décembre 2017 et le 31 décembre 2018, le SEEBCNDDN–CSN et le STTCNDDN–CSN se battent pour un plancher d’emploi et pour des salaires qui vont assurer un avenir viable au Cimetière Notre-Dame-des-Neiges.  

À propos

En grève depuis le 20 septembre dernier, le Syndicat des employées et employés de bureau du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges–CSN compte 17 membres. Pour sa part, le Syndicat des travailleuses et des travailleurs du Cimetière Notre-Dame-des-Neiges–CSN, responsable de l’entretien, rassemble environ 100 membres qui sont en grève depuis le jeudi 12 janvier 2023. 

La Fédération des employées et employés de services publics–CSN compte plus de 425 syndicats affiliés représentant environ 65 000 membres qui œuvrent dans le domaine des services publics et parapublics. Le Conseil central du Montréal métropolitain–CSN regroupe près de 100 000 membres issus de tous les secteurs d’activité, répartis au sein de quelque 400 syndicats à Montréal, à Laval et dans le Grand Nord du Québec.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans 8 fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Sondage réalisé auprès du personnel de soutien du centre de services scolaires du Lac-Saint-Jean

Surchargé, épuisé et victime de violence, le personnel veut quitter en grand nombre

Au mois de janvier dernier, les employé-es de soutien du Centre de services scolaire du Lac-Saint-Jean ont répondu à un sondage du secteur scolaire de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN). Le sondage s’adressait au personnel de soutien et portait sur leur réalité des six derniers mois.

« Les résultats sont inquiétants. Le personnel de soutien scolaire du Centre de services du Lac-Saint-Jean est épuisé, surchargé et victime de violence. Pas étonnant qu’une bonne partie d’entre eux pensent à quitter en grand nombre ! Clairement, les « solutions » patronales unilatérales des dernières années n’ont pas réussi à faciliter le travail des employé-es de soutien », déclare Annie Charland, présidente du secteur scolaire de la FEESP-CSN, principal regroupement syndical du personnel de soutien au Québec.

« Nous sommes catastrophés, mais pas étonnés par les résultats. 32 % des membres de nos deux syndicats ont répondu. Ce coup de sonde est donc un bon échantillon de ce qui se passe sur le terrain. Et ce n’est pas encourageant. Qu’attend-on pour agir concrètement? Nos gens sont sur les rotules ! Ces conséquences s’ajoutent malheureusement au fardeau porté par le personnel de soutien scolaire : manque de reconnaissance, appauvrissement et perte du pouvoir d’achat. Les employeurs et le Conseil du trésor ont souvent la fâcheuse tendance à vouloir prioriser certaines catégories d’emploi lors des négociations et à en écarter d’autres. Mais le personnel de soutien ne laissera pas cela arriver », affirment Geneviève Marceau, présidente du Syndicat du soutien scolaire du Lac-Saint-Jean et Jean-Pierre Larouche, président du Syndicat des employés manuels du soutien scolaire du Lac-Saint-Jean.

Voici les résultats qui inquiètent particulièrement les deux syndicats. Parmi les répondantes et les répondants :

· 62 % jugent que leur travail est épuisant émotionnellement ;

· 35 % affirment avoir vécu de la violence psychologique de la part d’élèves ;

· 31 % affirment avoir vécu de la violence physique de la part d’élèves ;

· 38 % ont envisagé de quitter leur emploi ;

· 36 % des salarié-es y travaillant depuis moins de 10 ans ont pensé quitter leur emploi ;

· 19 % ont envisagé de devancer leur projet de retraite ;

· 63 % travaillent durant leur pause pour réaliser l’ensemble de leurs tâches.

Mauvaises nouvelles pour la région
Pour Manon Tremblay, présidente du Conseil central du Saguenay-Lac-Saint-Jean – CSN, ces résultats ne sont pas de bonnes nouvelles pour la région. « C’est vraiment inquiétant. Ces gens ne veulent pas quitter leur emploi car ils ne l’aiment plus, mais bien en raison des conditions de travail de plus en plus difficiles ! Il n’y a qu’une solution, c’est écouter les gens sur le terrain et ne pas imposer des mesures qui ont démontré leur insuffisance à atténuer la dureté du travail du personnel de soutien scolaire », remarque Mme Tremblay.

La cloche a sonné et ce n’est pas la cloche de la récréation
Pour Frédéric Brun, vice-président de la FEESP-CSN, la stratégie des plasters doit être reléguée aux oubliettes. « Nous sommes présentement en négociation pour le renouvellement de nos conventions collectives. C’est l’occasion pour le gouvernement et nos patrons d’entendre la cloche sonner. Et ce n’est pas la cloche de la récréation, c’est la cloche pour négocier afin d’améliorer concrètement les conditions de travail », termine-t-il.

À propos

La Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN) est l’organisation la plus représentative du personnel de soutien scolaire au Québec. Le secteur scolaire de la FEESP-CSN regroupe 37 syndicats représentant plus de 35 000 employés-es de soutien présents dans 31 centres de services scolaires francophones et deux commissions scolaires anglophones.

Pour informations :

Eve-Marie Lacasse
Comité de coordination des services publics et parapublics de la CSN (CCSPP-CSN)
514 809-7940
eve-marie.lacasse@csn.qc.ca

Entente de principe adoptée chez Transco, division berlines

Les membres du syndicat en assemblée générale ce 28 mai 2023. - Photo : Dominic Morissette
Les membres du syndicat en assemblée générale ce 28 mai 2023. – Photo : Dominic Morissette

Sur la durée de notre nouveau contrat de travail de 6 ans, c’est près de 46 % d’augmentations au total – Aline Roy

Réunis en assemblée générale ce dimanche 28 mai, les membres du syndicat de Transco, division berlines, ont adopté à 91 %, par voie de scrutin secret, l’entente de principe intervenue le 25 mai dernier.

« Nous avons obtenu 13,5 % d’augmentation rétroactive à septembre 2022, 9,5 % au 1er juillet 2023 et des augmentations reliées à l’indice des prix à la consommation pour les autres années, avec un minimum garanti de 2 % par année. Notre garantie d’heures passera de 185 à 200 au 1er juillet 2025, ce qui nous ajoutera un 8 % additionnel cette année-là. Sur la durée de notre nouveau contrat de travail de 6 ans, c’est près de 46 % d’augmentations au total. À la lumière du résultat du vote, nos membres sont très satisfaits de leur nouveau contrat de travail », déclare Aline Roy, présidente du syndicat.

« Les règlements actuels dans le secteur reconnaissent finalement le travail des conductrices et des conducteurs de véhicules scolaires. Pour celles et ceux qui conduisent des berlines, on parle de passer du salaire minimum à un salaire qui reconnaît enfin leur travail. Ces conditions permettront d’attirer, et surtout de retenir les travailleuses et les travailleurs qui choisissent ce secteur. Ce règlement démontre hors de tout doute que les revendications des salarié-es dans le secteur sont réalistes et que la solution mise de l’avant par la FEESP–CSN depuis des années, celle de la bonification des enveloppes budgétaires versées aux transporteurs, allait régler ce problème », ajoute Stéphanie Gratton, présidente par intérim de la Fédération des employées et employés de services publics–CSN.

« Cette entente de principe à la hauteur des demandes des membres, c’est vraiment un signe très positif que ça change actuellement dans le transport scolaire. Il n’y a toutefois pas de secret : quand les syndiqué-es sont mobilisés et se tiennent debout, leurs chances de succès sont très fortes. Nous avons soutenu leur lutte, et maintenant, nous partageons la satisfaction de leurs gains avec les membres. Tous les autres employeurs du secteur doivent donc comprendre que la nouvelle norme salariale est bien implantée et que les syndicats actuellement en négociation ou qui le seront bientôt ont des attentes calquées sur ces règlements », conclut Dominique Daigneault, présidente du Conseil central du Montréal métropolitain–CSN.

À propos

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus/Berline–CSN regroupe environ 135 membres affiliées à la Fédération des employées et employés de services publics–CSN (FEESP–CSN).

Sondage réalisé auprès du personnel de soutien de centres de services scolaires du Bas-Saint-Laurent

Surchargé, épuisé et victime de violence, le personnel de soutien scolaire veut quitter en grand nombre

Au mois de janvier dernier, les employé-es de soutien du Centre de services scolaires des Phares, du Centre de services scolaires des Monts-et-Marées, du Centre de services scolaires Kamouraska-Rivière-du-Loup et du Centre de services scolaires du Fleuve-et-des-Lacs ont répondu à un sondage du secteur scolaire de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN). Le sondage s’adressait au personnel de soutien et portait sur leur réalité des six derniers mois.

« Les résultats sont inquiétants. Le personnel de soutien scolaire de ces quatre centres de services est épuisé, surchargé et victime de violence. Pas étonnant qu’une bonne partie d’entre eux pensent à quitter en grand nombre ! Clairement, les « solutions » patronales unilatérales des dernières années n’ont pas réussi à faciliter leur travail », déclare Annie Charland, présidente du secteur scolaire de la FEESP-CSN, principal regroupement syndical du personnel de soutien au Québec.

Centre de services scolaires des Phares
« Je suis catastrophée, mais pas étonnée par les résultats. 37 % de nos membres ont répondu. Ce coup de sonde est donc un bon échantillon de ce qui se passe sur le terrain. Et ce n’est pas encourageant. Concernant la violence, nous remarquons aussi une augmentation de rapports de déclarations de lésions remplis par le personnel. Qu’attend-on pour agir concrètement ? Nos gens sont sur les rotules ! », affirme Marie-Ève Leblanc, présidente du Syndicat du soutien scolaire des Phares.

Voici les résultats qui inquiètent particulièrement le syndicat. Parmi les répondantes et les répondants :

· 54 % jugent que leur travail est épuisant émotionnellement ;

· 38 % affirment avoir vécu de la violence psychologique de la part d’élèves ;

· 30 % affirment avoir vécu de la violence physique de la part d’élèves ;

· 36 % ont envisagé de quitter leur emploi ;

· 34 % des salarié-es y travaillant depuis moins de 10 ans ont pensé quitter leur emploi ;

· 64 % travaillent durant leur pause pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· Les ratios en services de garde ne sont pas réduits pour tenir compte des enfants d’âge préscolaire ou ayant des besoins particuliers.

Centre de services scolaires Monts-et Marées
Même son de cloche du côté du Syndicat du personnel de soutien de la commission scolaire des Monts-et-Marées « 36 % de nos membres ont répondu au sondage et ce dont ils témoignent est loin de donner le goût de faire carrière comme personnel de soutien ! Les conditions sont difficiles et la rareté de main-d’œuvre contribue à cette situation. Le gouvernement et nos représentants patronaux doivent cesser de presser le citron », continue la présidente Nancy Pâquet.

Voici les résultats qui inquiètent particulièrement le syndicat. Parmi les répondantes et les répondants :

· 54 % jugent que leur travail est épuisant émotionnellement ;

· 35 % ont subi de la violence psychologique de la part d’élèves ;

· 25 % ont subi de la violence physique de la part d’élèves ;

· 42 % ont envisagé de quitter leur emploi ;

· 41 % des salarié-es ayant moins de 10 ans de service ont pensé quitter leur emploi ;

· 41 % ont effectué du temps supplémentaire pour réaliser leurs tâches ;

· 60 % doivent travailler pendant leur pause pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· Les ratios d’enfants par éducatrice au service de garde ne sont pas réduits pour tenir compte des enfants d’âge préscolaire et des enfants ayant des besoins particuliers.

Centre de services scolaires Kamouraska-Rivière-du-Loup
La situation n’est pas plus reluisante au Centre de services scolaires Kamouraska-Rivière-du-Loup. « Le sondage nous confirme encore une fois que la situation se détériore pour le personnel de soutien. 34 % de nos membres ont rempli le sondage, ils veulent être entendus. Et ils nous témoignent qu’ils méritent mieux, avec tout le cœur qu’ils mettent à la tâche », enchaine Geneviève Plourde, présidente du Syndicat du soutien scolaire Kamouraska-Rivière-du-Loup.

Voici les résultats qui inquiètent particulièrement le syndicat. Parmi les répondantes et les répondants :

· 63 % jugent que leur travail est épuisant émotionnellement ;

· 40 % ont subi de la violence psychologique de la part d’élèves ;

· 35 % ont subi de la violence physique de la part d’élèves ;

· 41 % ont envisagé de quitter leur emploi ;

· 43 % des salarié-es ayant moins de 10 ans de service ont pensé quitter leur emploi ;

· 61 % font du temps supplémentaire pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· 62 % doivent travailler pendant leur pause pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· Les ratios d’enfants par éducatrice au service de garde ne sont pas réduits pour tenir compte des enfants d’âge préscolaire et des enfants ayant des besoins particuliers.

Centre de services scolaires du Fleuve-et-des-Lacs
Et que dire du Centre de services scolaires du Fleuve-et-des-Lacs? « 31 % de nos membres nous disent que leur quotidien est difficile et qu’ils regardent ailleurs. Qu’attendent nos dirigeants, dans ce contexte généralisé de rareté de main-d’œuvre ? Les lunettes roses doivent tomber », enchaine Valérie-Sandra Lavoie, présidente du Syndicat du soutien scolaire du Fleuve-et-des-Lacs.

Voici les résultats qui inquiètent particulièrement le syndicat. Parmi les répondantes et les répondants :

· 58 % jugent que leur travail est épuisant émotionnellement ;

· 39 % ont subi de la violence psychologique de la part d’élèves ;

· 20 % ont subi de la violence physique de la part d’élèves ;

· 38 % ont envisagé de quitter leur emploi ;

· 47 % des salarié-es ayant moins de 10 ans de service ont pensé quitter leur emploi ;

· 67 % font du temps supplémentaire pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· 60 % doivent travailler pendant leur pause pour réaliser l’ensemble de leurs tâches ;

· Les ratios d’enfants par éducatrice au service de garde ne sont pas réduits pour tenir compte des enfants d’âge préscolaire et des enfants ayant des besoins particuliers.

Mauvaises nouvelles pour la région
Pour Pauline Bélanger, présidente par intérim du Conseil central du Bas-Saint-Laurent – CSN, ces résultats sont vraiment alarmants. « Il faut le dire, la bonne marche d’une école ça passe entre autres par le personnel de soutien, vous n’imaginez pas à quel point ! Violence, surcharge et manque de reconnaissance des travailleuses et des travailleurs, ce sont les ingrédients parfaits pour vouloir quitter son emploi. Nous avons besoin d’elles et d’eux, encore plus en région, alors que la rareté de main-d’œuvre frappe de plein fouet. Le gouvernement doit impérativement écouter le personnel de soutien pour trouver des solutions gagnantes pour le réseau », conclut Mme Bélanger.

La cloche a sonné et ce n’est pas la cloche de la récréation
Pour Frédéric Brun, vice-président de la FEESP-CSN, la stratégie des plasters doit être reléguée aux oubliettes. « Nous sommes présentement en négociation pour le renouvellement de nos conventions collectives. C’est l’occasion pour le gouvernement et nos patrons d’entendre la cloche sonner. Et ce n’est pas la cloche de la récréation, c’est la cloche pour négocier afin d’améliorer concrètement les conditions de travail », termine-t-il.

À propos

La Fédération des employées et employés de services publics (FEESP-CSN) est l’organisation la plus représentative du personnel de soutien scolaire au Québec. Le secteur scolaire de la FEESP-CSN regroupe 37 syndicats représentant plus de 35 000 employés-es de soutien présents dans 31 centres de services scolaires francophones et deux commissions scolaires anglophones.

Pour informations :

Eve-Marie Lacasse
Comité de coordination des services publics et parapublics de la CSN (CCSPP-CSN)
514 809-7940 eve-marie.lacasse@csn.qc.ca

Entente de principe chez Transco, division berlines

La grève qui était prévue ce 26 mai est donc annulée

À la suite d’une ultime séance de négociation tenue hier soir, une entente de principe est intervenue entre le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus/Berline–CSN et l’employeur. Celle-ci sera bientôt présentée en assemblée générale afin que les membres se prononcent sur son contenu. La grève qui était prévue ce 26 mai est donc annulée.

Aucune entrevue ne sera accordée d’ici la tenue de l’assemblée générale.

À propos

Le Syndicat des travailleuses et travailleurs des Autobus/Berline–CSN regroupe environ 135 membres affiliées à la Fédération des employées et employés de services publics–CSN (FEESP–CSN).

La FEESP–CSN compte plus de 425 syndicats affiliés représentant 65 000 membres œuvrant dans le domaine des services publics et parapublics. Le Conseil central du Montréal métropolitain–CSN regroupe près de 100 000 membres issus de tous les secteurs d’activité, répartis au sein de quelque 400 syndicats à Montréal, à Laval, du Nunavik et d’Eeyou Istchee Baie-James.

Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans 8 fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.